h2o bz ta gd mere

le sang glissent sur les lèvres encore un peu frémissantes . les visions s'engueulent avec un présent qui s'écroule des voix du passé . les mots agressent la peau qui se gratte à chaque morsure . pourtant , le mal est fait , les dés ont succombé aux charmes de peirasmos . les griffures persistent . les chants irrissent lorsque la douceur n'est qu'un a capela enterré . pourtant ce n'est pas finit . tout n'est pas consumé ou prédicté . l'épicerie est grande ouverte. la guitare ondule et ne jugule plus . les cendres prennent leurs envols . les voisins baisent fenêtres éveillées au grand public . les soleil a la pâteuse . . la vie est un reflet qui jamais ne s'affaisse et berce entre ses ailes des molécules de CO2 . je n'écrirais pas d'adieu , restons aux je t'aime .